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FOIRE AUX QUESTIONS
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Que sont les éléments de terres rares et à quoi servent-ils ?Il s’agit de métaux généralement utilisés en petite quantité dans plusieurs applications, dont la fabrication de produits électroniques et de haute technologie, mais également de composantes de moteurs électriques et de produits associés aux énergies renouvelables, comme les batteries rechargeables et les éoliennes. À ce jour, aucun gisement au Québec n’a été mis en exploitation. Le principal pays producteur est la Chine, qui occupait 97 % du marché en 2010. Source : https://mern.gouv.qc.ca/mines/industrie/metaux/metaux-exploitation-terres-rares.jsp
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Quels sont les impacts des forages qui ont été réalisés jusqu’à présent sur la qualité de l’eau, la faune et la flore ?"Les forages d’exploration réalisés jusqu’à présent ont nécessité du déboisement local limité. Ces forages ont uniquement été réalisés durant de courtes périodes en saison estivale. Ces activités impliquent de la machinerie et des mesures de prévention et de surveillance ont été prises pour éviter au maximum les incidents environnementaux, particulièrement pour protéger l’eau. Les sites de forage ont été nettoyés après les travaux.
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Est-ce que le projet Kwyjibo sera assujetti au BAPE ?Le processus de développement du projet Kwyjibo inclut obligatoirement la réalisation d’une étude d’impact sur l’environnement selon la procédure d’évaluation environnementale découlant de la Loi sur la qualité de l’environnement en vigueur au Québec. Cette procédure pourra comprendre la participation du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). De plus, une description du projet sera analysée par l’Agence canadienne d’évaluation environnementale (ACÉE) afin de déterminer si une évaluation environnementale du projet sera requise ou non.
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Quels impacts l’exploitation des éléments de terres rares pourrait-elle avoir sur l’environnement et sur la santé humaine ?SOQUEM a la ferme intention de mener tous les processus applicables d’évaluation environnementale selon une approche proactive la plus inclusive et la plus transparente possible pour ses parties prenantes. Cela dit, au site d’extraction, il est prévisible que les impacts se rapprocheront des impacts typiquement attendus d’une mine souterraine. Quant au traitement hydrométallurgique, qui sera réalisé au site de l’usine de traitement et d’extraction, il requiert des solvants et des acides, de l’eau et de l’énergie. Ses résidus sont susceptibles de contenir des éléments radioactifs. La clé est dans leur gestion. À cet égard, SOQUEM se réfère aux protocoles de la Commission canadienne de sûreté nucléaire, qui sont les plus stricts au monde. Par ailleurs, SOQUEM voit l’opportunité de jouer un rôle de pionnières en ce qui a trait à la définition des standards pour l’exploration, la mise en valeur, l’exploitation et la transformation des terres rares, et ce, de concert avec les groupes concernés, les experts du domaine et les communautés autochtones et locales.
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Quelle est la durée de vie projetée de la mine ?Sur la base d’une première estimation de la ressource et des résultats d’essais métallurgiques préliminaires, l’évaluation économique préliminaire du projet, dont les résultats ont été publiés le 28 juin 2018, présente l’hypothèse d’une exploitation d’une durée de 10 ans. Or, cette évaluation révèle aussi que le gite de Kwyjibo demeure ouvert en profondeur et qu’il y a donc un bon potentiel de prolonger la durée de vie de la mine en poursuivant les travaux de forage et les études techniques. Pour les résultats de l’évaluation économique préliminaire, voir : https://globenewswire.com/news-release/2018/06/28/1531111/0/fr/Focus-Graphite-et-SOQUEM-annoncent-une-EEP-positive-pour-le-projet-d-éléments-des-terres-rares-de-Kwyjibo-au-Québec.html
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Quelles seraient les principales retombées du projet Kwyjibo ?SOQUEM veut réfléchir avec les communautés autochtones et locales aux divers choix stratégiques rattachés au projet qui permettront la création de retombées durables pour elles. Entre autres mesures, notons la création de retombées économiques par une collaboration avec les fournisseurs locaux et autochtones, en passant évidemment par l’emploi. SOQUEM est également ouverte à explorer des manières de favoriser ou de mettre davantage en valeur les usages récréatifs du territoire par la création d’accès sécuritaires, de contribuer à l’acquisition et à la diffusion de connaissances environnementales, etc. À ce stade-ci, toutes les avenues peuvent être explorées.
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Comment SOQUEM compte-elle prendre en considération les préoccupations et les intérêts des communautés autochtones et de la population en général ?À travers l’ensemble des principes qui guident le développement durable du projet, SOQUEM prend l’engagement d’installer un climat de collaboration avec les communautés autochtones concernées par le projet et les communautés locales. Des activités d’information et d’échange visant la mise en place d’un dialogue constructif avec ces différentes communautés sont d’ailleurs déjà entamées. Ceci permettra la construction d’une feuille de route de développement durable intégrant aux différentes étapes du projet les préoccupations du milieu et ce, de manière structurée et concertée.
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